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Sur le papier, tout semble parfaitement calé.

Plans à jour, DQE validé, équipes alignées.

Et pourtant, sur le terrain, une dalle béton est coulée… sur la mauvaise version du plan.

Ce genre d’erreur coûte en moyenne entre 3 700 € et 6 600 € à l’entreprise.

C’est un problème d’accès à l’information, là où elle compte vraiment : sur le chantier.

Le mythe de la coordination parfaite entre les acteurs du chantier

Un architecte modifie un détail de façade.
L’économiste met à jour le DQE — le Détail Quantitatif Estimatif, ce document qui précise les quantités et coûts de chaque élément du projet.
Mais le chef de chantier imprime l’ancienne version du plan.

Quand la technologie ne va pas jusqu’au terrain

Dans beaucoup de projets, le numérique s’arrête aux portes du bureau.
On utilise des outils collaboratifs. Des plans BIM. Des plateformes cloud.
Mais sur le chantier ? Des impressions papier, des téléphones personnels, des tablettes non adaptées.

Exemples concrets d’erreurs évitables

Un changement de plan envoyé par mail vendredi à 17h.
Le chef de chantier commence la journée sans avoir reçu la mise à jour envoyée en fin de semaine.
Il utilise la version imprimée de jeudi. Résultat : dalle coulée selon l’ancienne version, reprise obligatoire, retard d’un jour.

Ce qu’un équipement terrain adapté change concrètement

Avec une tablette durcie Coworker, le chef de chantier peut :

  • Consulter les plans à jour, même avec les doigts sales
  • Annoter directement sur les documents, sur le terrain
  • Partager ses remarques en temps réel avec l’architecte et l’économiste

Checklist actionnable

  • Accéder aux dernières versions de plans, sans dépendre de la 4G
  • Résister à la poussière, l’eau, les chocs, les températures extrêmes
  • Être lisible en plein soleil
  • Être utilisable avec des gants ou les mains sales
  • Pouvoir envoyer des annotations ou photos instantanément
  • Se connecter à vos outils métiers (BIM, GED, etc.) grâce à nos modèles sous Windows ou sous Android

Pourquoi une tablette classique ne suffit pas

Une tablette standard n’est pas conçue pour un environnement de chantier.
Elle chauffe, se fissure à la première chute, sa batterie ne tient pas la journée.

Focus : combien coûte une erreur de plan non mise à jour ?

  • Surface impactée (6 m² de dalle) : 600 à 1000 €
  • Reprise de chantier : 1500 à 2500 €
  • Retard (1 à 2 jours) : 800 à 1600 €
  • Temps de correction documentaire : 300 à 500 €
  • Coûts indirects : 500 à 1000 €

Total estimé : 3 700 à 6 600 €

L’approche Coworker : la fiabilité jusqu’au béton

Chez Coworker, nous concevons des tablettes robustes, durables, et pensées pour les pros du terrain.

  • Étanches, anti-poussière, anti-choc
  • Lisibles en plein soleil
  • Utilisables avec des gants
  • Compatibles avec vos outils de chantier
  • Autonomie suffisante pour tenir toute la journée

En savoir plus sur notre vision

Conclusion

La coordination inter-métiers ne se joue pas uniquement sur des logiciels performants.
Elle se joue là où le béton est coulé. Là où chaque minute compte.

Le bon outil numérique, au bon endroit, fait toute la différence.

Parlons de votre prochain chantier.

FAQ – Digitalisation des chantiers

Quelle est la différence entre une tablette durcie et une tablette classique ?

Une tablette durcie est conçue pour résister aux environnements extrêmes : chocs, températures, humidité, poussière… Elle est beaucoup plus robuste qu’une tablette classique, qui est pensée pour un usage bureautique ou domestique.

Est-ce que les tablettes Coworker sont compatibles avec les logiciels BIM ou GED ?

Oui. Les tablettes Coworker tournent sous Android ou Windows, selon les modèles, et sont compatibles avec les principaux outils métiers utilisés dans le BTP.

Est-ce qu’il faut une connexion internet permanente ?

Non. Les tablettes peuvent stocker les documents localement. Mais dès qu’une connexion est disponible, elles synchronisent automatiquement les données avec le reste de l’équipe.

Est-ce que c’est rentable pour une PME du bâtiment ?

Très souvent, une seule erreur évitée suffit à rentabiliser l’équipement. Le coût d’une reprise de chantier dépasse très largement le prix d’une tablette professionnelle bien choisie.

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